Quel gachis ! Epaves de chars

Salut
Merci Laporte mais celui que je cherche a une tourelle ronde comme un casque de scaphandrier et pas tres bien fini...
les "tubes" sont rapprochés l'un de l'autre.
pour la taille ,je pense que ça doit etre ça !
la derniere fois que je l'ai vu c'etait en 1990... lors de mon service militaire.
il n'y avais qu'une seul personne qui s'en occupai (faire un tour de parking quoi !),un lieutenant dont je ne me souviens pas le nom.
il nous expliquai que c'etait un four en été et un congélateur en hiver
en tout cas ce petit tank anacronique n'a jamais quitté son parking souterrain pour les manoeuvre a canjuers au dessus de Draguignan
cordialement
Phil.

un petit bonjour de djibouti a tous les membres du forum
je vois qu il y a toujours des sujets aussi passionnant depuis ma derniere fois en septembre!
comme le dit fx,des photos ont disparu dont ceux des tanks qui pourrissent a djibouti dont je vous envoie les dernieres photos,je vous dit a tous bonne continuation et longue vie au forum


leon

pauvres chars stuart qui pourrissent comme ça dans l eau.............

Cà fait "fin du monde "!!!!

Fx

https://2img.net/h/i260.photobucket.com/albums/ii38/tankman_2008/Tank%20Firing%20Range/115.jpg

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FX

Découpage de shermans M4a4

c'est un mauvais rêve !!

c est abusé la.

Au voleur !!!

http://www.vosgesmatin.fr/actualite/2014/02/02/un-engin-blinde-de-cinq-tonnes-vole


Insolite Un engin blindé de cinq tonnes volé:


Installé à Xouaxange près de Sarrebourg, un engin blindé a été dérobé au début de l’année. Quatre à cinq tonnes de matériel subtilisées à l’aide d’une grue. Personne n’a rien vu.

XOUAXANGE

Dans le village de Xouaxange, les anciens avaient coutume de s’en servir de repère. Et les familles s’y retrouvaient parfois pour la promenade dominicale avec les enfants. « On disait ça depuis longtemps : ‘’On va au char’’ », explique le maire, installé dans son bureau au premier étage de la coquette mairie, le regard porté vers la photo aérienne. Depuis une bonne cinquantaine d’années, l’engin était situé à l’écart du bourg, au bord d’une route communale longeant les terrains militaires du 1er régiment d’infanterie de Sarrebourg. Les ronces et mauvaises herbes caressaient sa carapace métallique, fatiguée par les ans et l’oubli le guettait en permanence.
Plus que les empreintes

Datant des années 50, cet engin blindé de reconnaissance a été dérobé au début de l’année. C’est le maire de la commune, Maurice Pelletreau, qui s’en est aperçu au hasard de l’une de ses promenades sur les terrains de calcaire qui longent le terrain militaire. Selon toute vraisemblance, les voleurs se sont emparés des cinq tonnes de matériel et de ferraille, usant d’une grue à la nuit tombée, avant de repartir ni vu ni connu avec leur prise nocturne. Non sans un certain culot.
« C’était un pot de fleurs »

L’enquête, confiée aux gendarmes de Sarrebourg, se poursuit. Mais pour l’heure, les auteurs n’ont pas été confondus. « Ces engins, quand ils sont en ordre de bataille, autrement dit avec armement, munitions au complet, peuvent peser treize tonnes », explique le maire, qui connaît bien son sujet après une trentaine d’années passées dans l’Armée et une fin de carrière d’officier à Sarrebourg.

L’EBR ne servait plus que comme un « pot de fleurs » image l’élu. En effet, le moteur, une partie de la structure et la « carapace » métallique n’étaient déjà plus présentes sur le char mosellan. « Mais il avait servi à l’instruction des appelés du contingent, même s’il n’avait plus rien d’agressif… »

Le vol a largement alimenté les discussions dans les petites rues de ce village qui présente l’autre particularité d’une voie ferrée scindée en deux : l’héritage de l’Allemagne qui, avec ses trains roulant sur la voie de gauche, assurait sa connexion autrefois. Le char illustre la tradition militaire de ce secteur, avec le 1er régiment d’infanterie de Sarrebourg et la base hélicoptères de Phalsbourg, qui reste à ce jour le plus vieux régiment de France.

« Il faut savoir que, dans ce type d’équipement, tout est prévu pour le remplacement mécanique et donc des crochets sont coulés dans la masse, ce qui a sans doute aidé pour accrocher l’engin », réfléchit Maurice Pelletreau. Maire depuis 2001, ce Vendéen d’origine ne masque pas son état d’esprit désabusé. Mais son message est clair et il répète aux micros qui se tendent : « Si on nous vole maintenant le char, c’est vraiment le signe d’une époque où on nous vole tout. Regardez les exemples de plaques d’égout qui disparaissent… Si ça continue, on va nous voler la Tour Eiffel. »

Antoine PETRY

Je remets les photos qui ont disparus. Elles datent de 2007 lors de mon séjour à Djibouti.








JM

Juste pour info . Faites vos choix
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000043148444

ils sont cons de laisser ça pourrir, ils perdent de l'argent
les russes les remontent des étangs, des lacs, de partout et les vendent