Char de la Nartelle (Sainte Maxime, 83)

salut

pour PZIV pour les véhicules route de Manosque vous pouvez vous arrêtez pour les voir de prêt le proprio est super si il est la il vous fera également visiter son musée perso de motos dans sa maison a cote des véhicules de mémoire il y a quelque bécanes de la seconde guerre avec l équipement est la visite est gratuite

je sais aussi que l'ont peut lui téléphone pour une visite organisée mais je ne trouve plus son numéro

laurent

desole

https://2img.net/r/ihimizer/img301/6720/stulle1os3.jpg

je connais aussi un garagiste en lozere qui renove ce genre d'engins

a propos de char sherman

le compteur a 4'36" indique près de 60 km/h
par contre a 6'57" on se rend compte que en Sherman le panneau stop est facultatif
j'veux le même

Il cavale le sherman ! en tous cas super restoration.

bonjour stefoune, pourrais tu me donner un peu plus d'info sur la photo du char que tu a posté. ???

bonjour a tous, pourrai je avoir des emplacements, des endoits ou je pourrai trouver des épave de char? merci de me répondre je m'adresse a tout le monde merci

Bonjour a tous,

J' ai pris quelques clichés du sherman de la Nartelle après la tempête de ces derniers jours, mais je n'ai pas encore l'autorisation de poster des images.

Je vous les montrerais des que ce sera possible.

A bientôt.

Merci, ce sera intéressant de le revoir.

Bonjour à tous

Voici des photos recentes du char de la Nartelle

Vue d'ensemble


By monsabert44 at 2011-11-28

Le glacis avec la rotule de la mitrailleuse de caisse


By monsabert44 at 2011-11-28

Le poste de pilotage avec un des leviers de direction


By monsabert44 at 2011-11-28

D'autre vont suivre....

Citation :

Merci pour les photos

En tout cas c'est bien un sherman, vu que les M10 n'avaient pas de mitrailleuses en glacis et qu'on voit la rotule.

monsabert44 a écrit:

Bonjour à tous

Voici des photos recentes du char de la Nartelle

Vue d'ensemble

Et le moteur ressemble pas mal à un diesel GM 6-71




Ca serait donc un M4A2 ? Le seul équipé au débarquement était le 5°RCA.

Bonsoir à tous
pour vtt13, encore le moteur


By monsabert44 at 2011-11-28


By monsabert44 at 2011-11-28

et le sherman après guerre, çe n'est pas un Français mais un ricaind'après Yves BUFFETAUT dans le hors-serie N°14 de Militaria Magazine, il s'agit d'un blindé du 101 st Tank battalion]dèbarqué au matin du 15 aout et qui à sauté sur une mine ; a noter que le char commence déja sa plongée dans le sable


By monsabert44 at 2011-11-28

j'en ai d'autres, à suivre car je passe devant tous les jours pour aller bosser

C'est donc un M4A3 avec le moteur ford GAA 1924.

Belle bete

C'est encore mieux sans la rouille

Bonsoir à tous

Mauvaises nouvelles: le char s'est presque totalement ré-ensablé , mais pour combien de temps ?

monsabert44 a écrit:

Bonsoir à tous

Mauvaises nouvelles: le char s'est presque totalement ré-ensablé , mais pour combien de temps ?

Bonsoir,

Jusqu'à la prochaine grosse tempête d'est, C'est malheureusement inévitable.

Amicalement

0Jean-Daniel De Germond à Sainte-Maxime: "À 17 ans, j'ai posé sur ce tank !".Publié le mardi 15 novembre 2011 à 12h00
En 1946, deux ans après le débarquement, Jean Daniel de Germont prend la pose sur le char d'assaut abandonné par les Américains. (Photo S. B.)

. Mémoire vivante de la cité, l'historien Jean-Daniel De Germond était là, quand les soldats US ont débarqué. Qu'ils ont démoli, à coups de canons et de tubes explosifs, un mur haut de plus de deux mètres, érigé par les nazis.

« J'avais 15 ans. La plage était minée, mais les Américains ont pris toutes les précautions nécessaires. Ils ont posé, sur le sable, un tapis en toile de jute, un grillage à poules très solide et une plaque en acier. Ce qui leur a permis bien répartir les charges », raconte le conservateur du musée de la Tour Carré.

Pour quelles raisons ont-ils donc abandonné ce char ?

« Il a probablement été touché par une mine, mais cela reste une supposition ». Après la guerre, le tank fantôme est devenu l'attraction n° 1 de la Nartelle. « Nous allions sur la plage pour tout récupérer »

« Le 15 août, nous avons changé de planète. Le choc culturel a été violent. On entrait subitement dans la société de consommation. Les produits arrivaient à foison. Du pain blanc, du thé, des biscuits, des cigarettes. Nous allions sur la plage pour tout récupérer », se remémore l'auteur d'Histoire et histoires de Sainte-Maxime. Des souvenirs qu'il garde précieusement dans ses classeurs. À l'instar de cette photo, prise en 1946, alors qu'il avait 17 ans, sur le fameux char d'assaut !



Trouve aur le var matin du 15/11/2011 aujourd’hui la mairie sont entrains de le désensabler pour en faire un monument

cochscc a écrit:

... aujourd’hui la mairie sont entrains de le désensabler pour en faire un monument

Je ne me manifeste pas souvent pour râler, mais franchement quelle perte d'argent!
C'est trop tard messieurs les politiciens, voilà 65 ans que vous auriez pu sauver cet engin et en faire un vrai monument utile et éducatif.
Maintenant qu'est-ce qu'il y a à espérer de ces pauvres restes de plancher de char méconnaissables?
Franchement???

La mairie va payer aussi cher aujourd'hui pour déssensabler un tas de rouille lamentable qu'elle ne l'aurait fait il y a 40 ans pour sauver un vrai char.
Quel gachis!

BoM

Pour infos ça coûte environ 30000 euros

Bonjour à tous

je pense que le projet d'extraction est abandonné. Effectivement au vu des photos que j'ai prise on peut parler de "plancher de char"
La Normandie aurait été l'exemple à suivre concernant le devoir de mémoire

Ce jours Sur le var matin en première page le dessablage et terminer on vois bien le Sherman ,les chenilles il manque la tourelle

Un char américain sorti du sable à Sainte-Maxime.Publié le vendredi 16 décembre 2011 à 16h45
Livre d'histoire sous le coude, le colonel Jacques Lepinay n'a pas raté une miette de l'opération, qui s'est déroulée hier, à 15 h. Le char « Sherman » a été tiré par deux grandes pelles hydrauliques.

Philippe Arnassan

. Séparé de sa tourelle, le blindé gisait depuis 1944 sous la plage de la Nartelle. La Ville de Sainte-Maxime prévoit de le rénover et d'en faire un objet d'exposition.

Plus qu'un vieux trésor de guerre, c'est un véritable symbole du débarquement que les Maximois ont sorti du sable, hier après-midi. « Un vestige culturel », renchérit l'adjoint à la sécurité, Patrick Amado.

Laissée en jachère par l'armée américaine, la carcasse blindée - un Sherman M4 - gisait depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale sous les eaux de la Nartelle. À quelques mètres du restaurant de plage Saint-Barth.

Déterré par deux grandes pelles hydrauliques, le char, lourd d'une trentaine de tonnes, a été ramené sans problème jusqu'au parking.

Une opération à 25 000 e

Submergé par une vague de souvenirs, Jacques Lavaux y voit là le début d'une nouvelle histoire. « Quand je disais aux gens qu'il y avait un tank là-dessous, ils me prenaient pour un fou », se souvient cet ancien soldat du 1er régiment des chasseurs d'Afrique.

Enseveli et rongé par la rouille, le véhicule ne pointait son nez qu'après de violentes tempêtes de vent d'est. « Sa tourelle a été découpée, peu après la guerre mais cela posait tout de même un problème de sécurité. En 2008, une enfant s'est blessée et nous ne voulions pas que cela se reproduise », explique M. Amado. Dès lors, de longues démarches ont été entreprises par la ville.

« Le consulat américain et la Direction des recherches archéologiques sous-marines nous ont donné leur feu vert et nous avons reçu différents soutiens financiers ».

Une aide de 5 000 e, de la société Provence Environnement, et une autre, de 10 000 e, de l'entreprise Esterel Terrassement, chargée d'effectuer cette (délicate) opération. La ville a pu apporter les dix mille euros restants, en puisant dans le budget dédié à l'entretien des plages.

Immersion dans le port, ce matin

« L'opération avait échoué plusieurs fois, dans le passé. En utilisant une grue, le char restait collé au sable comme une ventouse. Cette fois, la puissance de nos engins a parlé », glisse, soulagé, le chef de chantier. Sa mission n'en est pas terminée pour autant.

Équipée d'une grue de 70 tonnes et d'un porte-char, son équipe doit déposer la bête, ce matin... dans le port, près du quai Léon-Condroyer. « Cet engin nécessite un traitement spécial. Comme il risquait de s'oxyder, nous préférons l'immerger là pour le moment », explique l'adjoint à la sécurité.

Pour sa part, le maire de Sainte-Maxime, Vincent Morisse, réaffirme son envie de conserver et de restaurer ce vestige de l'armée US. « Nous avons pour projet de l'exposer sur le rond-point du débarquement. Si l'on retrouve les numéros de série, nous les transmettrons aux Américains, dans l'espoir qu'ils se replongent dans leurs archives », appuie l'édile.

Le littoral varois ne nous a peut-être pas encore dévoilé tous ses secrets...

petite photo si tu ne me croix pas