La Batterie de Côte "Amiral Saint Bon" était une oeuvrage militaire à la défense de la ville de Tarente, construite peu de temps après la constitution du Royaume De l'Italie, pour la nécessité urgente de défendre de la mer toutes ces installations portuaires et militaires , comme l'arsenal du jeune État.
Déjà en 1865, une Commission militaire détermina dans la ville de Tarente l'endroit apte où établir l'arsenal, même si on dut attendre le 1882, quand avec l'amiral Saint Bon se déroulèrent des études nécessaires à la réalisation de l'arsenal et du Canal Navigable dans la Petite mer. Successivement, la Commission dut pourvoir à déterminer les zones les plus indiquées où faire édifier les premières oeuvres de défense antinave côtier, étant donné que les existants, de la période napoléonienne et encore plus anciennes, apparaissaient obsolètes et non efficaces .
Ils se levèrent, depuis 1890 en puis, les premier constructions de Défense de côte, comme la Tour Cuirassé "Vittorio Emanuele II" sur l'île de Saint Paolo, les Batteries "Rondinella", "Saint Pietro", "Saint Vito", réalisé entre le 1890-92 et autres plus petites, confiee au Corps d'Artillerie Maritime De Côte de l'Armée .
Autres furent construites successivement....les dernières, vraiment pendant le Second Conflit Mondial, prise en force par la Milizia Milmart.
1909-11: construction de la Batterie Côtiere "Lamia", puis dénommée tout de suite après son achèvement en Batterie "Amiral Saint Bon", intitulée vraiment à l'amiral Simone Pacoret de Saint Bon (1828-1892), déjà héros de Lissa et Tête d'État-major et Ministre de la Marine.
L'oeuvre fut armée donc avec les 6 obusiers prévus déjà dans le projet, de 280/9 mm type "L" de la maison Armstrong tournants
Une Batterie au tir courbe donc et au pointage indirect, Les obusiers étaient cachés par la vue de la mer du dépôt munitions de pret emploi et du terre-plein, avec but mimétique-défensif.