QUIIIIZZZZ!!!!!!

Nein!!!

débarquement d'une petite troupe avec son chef sur la côte provencale... remontée par des chemins de traverses vers le Nord direction Paris.

retour de Napoléon de sa campagne d'Egypte ?

ah ahhh ... presque cà...

FX

février 1815 Juan les Pins

Et v'oui Daniel...on nomme aussi "débarquement de Provence"... le débarquement de l'Empereur de retour de l'Ile d'Elbe à Golfe Juan pour reprendre le pouvoir au Roi Louis XVIII...les 100 jours. Remontée vers Paris par la route des Alpes ( Cannes, Grasse, Digne, Sisteron, Gap, Grenoble...).

Notez: que Bonaparte de retour de l'expédition d'Egypte débarqua à St Raphaèl.

zut j'étais pas loin
un jour je l'aurais.............;je l'aurais
@ plus
David

Question: Qui sont les "merlinettes"?

Fx

ne serait ce pas les Françaises engagées volontaires?

""Horror,Horror... ! ' (W;Shakespeare)

"Such a Shame !" (Talk-Talk.. )"

I beg your pardon Sir Admin ,but my english Marines were the first to landing in Provence and "flank to the baille" yours f..... cannons of f..... "Froggys" !

Traduction: "Tu me prends pour un anglais ?"

C'est de la discrimination caractérisé je vais demander le "politique asile "sur le littoral atlantique

Françaises engagées volontaires? Plus précisément...

dans les transmissions

Le 22 novembre 1942, le général d'armée Giraud, commandant en chef des forces terrestres et aériennes en Afrique du Nord, décidait la (C.F.T.). Six mois après l'acte de naissance de l'arme des transmissions, les femmes trouvaient déjà leur place dans cette fonction opérationnelle. Ce sont les "Merlinettes", surnom dérivé du colonel Merlin, commandant les transmissions en A.F.N., qui eut l'idée de cette création et qui en conduisit la réalisation. Elles sont les premières femmes "soldats" de l'armée de terre
Les spécialités dans lesquelles elles furent formées (radio, téléphoniste, télétypiste, radio/secrétaire d'analyse) n'étaient pas spécifiques au personnel féminin. A l'issue de leur formation, ces jeunes filles ont été immédiatement engagées, au niveau corps d'armée et supérieur, sur le théâtre d'opération en Tunisie (mars 1943). Environ cent cinquante d'entre elles servirent comme radios et télétypistes à Tebessa, Sfax, Sousse, Elba Ksour, Le Kef…

Puis ce fut la participation au sein du corps expéditionnaire d'Italie (C.E.F.) à la campagne d'Italie. La compagnie 807/1, le détachement d'écoutes 808 et le détachement transmissions 805 auprès du général commandant en chef, débarquent à Naples et progressent, avec les forces françaises du général Juin, de Monte Cassino, du Garigliano à Rome pour atteindre Sienne. C'est dans cette ville qu'elles participeront au défilé du 14 juillet 1944. Le 9 août de la même année, c'est le rembarquement à Tarente sur la côte adriatique et le 16 août, la compagnie 807 débarque à Saint-Tropez. Le sud de la France est foulé, la campagne de France s'engage. Une autre compagnie, la 827/1, va participer également à l'épopée de l'armée aux ordres du général de Lattre de Tassigny. De la Provence à Strasbourg, puis après le franchissement du Rhin, c'est l'avancée vers Sigmaringen., Après l'armistice, les unités de transmissions du C.F.T. s'arrêtent définitivement à Insbrück le 9 juillet 1945.


Simultanément, elles participent à l'armement de tous les centres fixes en A.F.N. et en France libérée. Les effectifs sont importants, au 1er mars 1944 ils atteignent 2.000 pour l'armée de terre et 400 pour l'armée de l'air. La valeur de leur engagement est souligné par le général Carpentier, chef d'état-major du C.E.F. : "dans des circonstances extrêmement dures le personnel féminin des transmissions a été admirable" et par le général de Lattre de Tassigny : "les volontaires féminines de la 1re Armée (...) ont fait preuve d'un dévouement souriant, d'un zèle sans défaillance, certaines même d'un héroïsme magnifique. Elles peuvent être fières de la part qu'elles ont prise à notre victoire".


Enfin, une cinquantaine de ces jeunes femmes a été sélectionnée, formée et entraînée comme "opératrices radio" pour servir dans la clandestinité en France occupée. Leur instruction technique comportait en particulier un saut en parachute, cela mérite d'être souligné. Cinq d'entre elles ont fait le sacrifice de leur vie, Elisabeth Torlet fusillée le 6 septembre 1944 près de l'Isle-sur-Doubs, Marie-Louise Cloarec, Pierrette Louin, Eugénie Djeni et Suzanne Meritzien exécutées le 18 janvier 1945 au camp de Ravensbrück.


Certes, les conditions de sélection, de gestion, de vie, de comportement et les structures (pas de mixité) étaient distinctes de celles des hommes, mais ce n'était que le fait des règles de la société de l'époque où, il ne faut pas l'oublier, les femmes n'avaient pas encore le droit de vote.

Ok...David à toi de relancer...

ok je vais essayer
suite à des études et à la mise en évidence lors des bombardements de le seconde guerre mondiale qu'appelle t'on les "4B"

Y a -t-il un rapport avec les bombes atomiques lachées sur le Japon?

non il n y a pas de rapport avec les bombes atomiques que le Japon a reçu mais les habitants de ce dernier ont eu à subir les "4B" sans tenir compte évidemment des radiations

petite aide
c'est un terme francisé résultant du fait que ce sont les Anglais qui ont été les premiers à l'étudier.
Décrit par Ambroise Paré sous le terme "vent du boulet" mais dénommé déjà pendant la Première Guerre Mondiale "ébranlement lié à l'explosion" il fut appelé par les Anglo-saxons "blast injury"
les "4B" résultent donc de ce fameux blast mais qu'engendre t'il? d'où les "4B"

- blessures
- brulures
- compressions
- blast

???

salut 3 sur 4 joli!!!!
en effet suite à explosion il y a brûlée , blessée, blastée et bouleversée
et le souffle de l'explosion provoque des blessures en 4 temps
_ blast primaire: 3 phénomènes mécaniques font accroître les blessures (au passage de l'onde choc les gaz contenus dans l'organisme subissent une diminution brutale de leur volume. Lors du retour à la pression atmosphérique normale, ils reprennent leur volume initial mais de façon brutale ce qui provoque une dilatation violente des gaz contenus dans les organes et une déchirure des parois de ces organes. Lors de l'onde de choc les variations des pressions s'exercent dans les espaces existant (cote/poumon; fois/péritoine etc etc) cela se traduite par l'arrachement des tissus solidarisant les organes ou le choc des tissus durs dans les tissus mous voisins. Ou alors l'onde de choc provoque des éclatements, des ruptures des parois des organes du fait de la différence de densité des organes qui ont donc une résonance différente
Cela concerne les oreilles, le ventre, le cou, les poumons, les organes internes, les yeux, le cerveau, le cœur ainsi que les vêtements (ces derniers subissent la pression provoquée par l'explosion entre lesdits vêtements et la peau où se trouvent une mince couche d'air c'est pour cela qu'on les retrouve souvent déguenillés, vêtements déchirés ou presque nus)
_blast secondaire il résulte de la projection sur les victimes d'objets mis en mouvement par le souffle, les effondrements de l'environnement. les brûlures en font partie aussi (boule de feu de l 'explosion)
_blast tertiaire projection en l'air de la victime sous l'effet du souffle
_blast quaternaire il concerne tous les intervenant impliqués dans une explosion: blessés, les indemnes, les témoins et même les secours. Toutes ces victimes peuvent être bouleversées et présenter de manière immédiate ou retardée des traumatismes psychiques de gravité variable
voili voilou
@ plus
David

je relance
je m'appelle "MARGO" le 12 août 1944 un de mes semblables et moi même avons été descendus par la Flak
Qui suis je et quelle est la particularité de mon escadrille ?

l'avion du Lt-Cl Alexander JEFFERSON, escadrille de Mustang
le 12 août 1944 ils doivent attaquer la station radar de Carqueiranne

bravo
leur particularité est qu'ils ont la queue peinte en rouge et il s'agit de la seule escadrille US dont les pilotes sont noirs
Juste avant d'être descendu Jefferson voit son camarade, le Lt Robert Daniels Jr., qui se trouvait à sa droite, être touché. Ce Mustang finit sa course dans la mer, aux Fourmigues, 860m à l'ouest de Giens où il se trouve toujours par 54m de profondeur
Quant au Lt Alexander Jefferson du 301è Fighter Squadron, 332è Fighter Group, Mat 819461, il ne vole qu'à seulement 15m du sol son avion "Margo" est touché alors qu'il traverse une grêle d'obus de 2cm d'un des 8 canons antiaériens en défense autour du site. Jefferson entend une forte explosion dans son moteur et comprend que son avion prend feu lorsque son cockpit se remplit d'huile chaude et de fumée. Trop bas pour pouvoir sauter en parachute, il profite de l'élan de son Mustang pour remonter à 250m, fait se retourner l'avion et saute. Il voit s'écraser "Margo" dans un champ pendant que son parachute le pousse vers une patrouille allemande. Le hasard fait qu'il tombe sur la batterie de Flak qui l'a descendu. A peine a-t-il touché le sol que, baïonnettes aux canons, les Allemands se précipitent vers lui avec un air très méchant. Il pense sa dernière heure venue lorsqu'ils se rendent compte, stupéfaits qu'il est noir. A la tête qu'ils font il comprend qu'ils n'ont jamais vu un Noir de leur vie. Il pense que c'est la raison pour laquelle ils l'ont épargné? Dès cet instant, il devient un véritable objet de curiosité. Il est montré de partout et fait l'objet de toutes leurs conversations.
Fait prisonnier à 11h10, le pilote est conduit non loin de là chez le commandant du secteur, qui réside dans la splendide demeure "Le Vaisseau" située en bord de mer, propriété de la Baronne de Roshschild qui est partie aux USA. L'officier Allemand le reçoit sèchement dans la véranda mais il s'avère vite sympa après avoir compris que Jefferson est né à Détroit dans le Michigan. Dans un anglais impeccable; il lui confie qu'il a étudié à l'université du Michigan et qu'il a passé de très bons moments dans la "Paradise Valley" de Détroit où il espère retourner aprés guerre.A l'issue de cette entrevue le pilote est dirigé sur la base aérienne de Cuers avant d'être envoyé en captivité dans un Stalag en Allemagne.Il n sera libéré qu'en avril 1945 par la 3ème armée de Patton.
En 1947 il devient enseignant à Détroit tout en restant dans la réserve de l'US Air Force avec le grade de Lieutenant Colonel.
Actuellement A. Jefferson vit paisiblement à Détroit
Il a écrit un livre sur son aventure et sa captivité (Red Tail Captured, Red Tail Free ) illustré de nombreux dessins réalisés alors qu'il était prisonnier
le Lt Col. Alexander Jefferson

Un lien vidéo sur le pilote
https://www.youtube.com/watch?v=QAZucEsYvq4&feature=player_embedded
un autre lien vidéo superbe où on relate comment les « queues rouges » ont réussi à abattre 3 ME 262 vraiment chapeau bas
https://www.youtube.com/watch?v=RSWEO-ratKM&feature=related
le livre du Lt. Col Jefferson

quelques dessins des P51 à queue rouge



@ plus
David

Question: qu'appelait t'on pendant la guerre " la zone Nono"?

La Zone Non occupée autrement dit la Zone Libre

@+
Alain