15 AOUT 1944 IL Y A 80 ANS : LES ALLIES DEBARQUENT EN PROVENCE - OPERATION DRAGOON
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Il y a soixante-dix ans, s’abîmaient dans l’Estérel et en mer deux bombardiers. A leur bord, de jeunes aviateurs américains, la peur au ventre mais la rage au cœur, qui ont affronté la mitraille et sont morts en accomplissant leur mission. Autorités civiles, anciens combattants et associations patriotiques, se sont recueillis sur trois lieux symboliques pour honorer leur mémoire et celle du commandement des forces alliées, lors du débarquement de Provence.
D’abord au Col de Belle Barbe, puis à l’Oratoire d’Agay et enfin à l’esplanade du débarquement, les cérémonies franco-américaines ont vibré ce dimanche 5 octobre d’un touchant hommage à ceux qui sont morts pour que vive la France. Le premier, en souvenir de l’équipage du Liberator de la 15e Air Force, commandé par le sous-lieutenant O. Trotter dont l’appareil devait se cracher en feu dans l’Estérel, le 25 mai 1944. Le second, pour le sous-lieutenant Batz et son équipage, tombés deux jours plus tard dans la rade d’Agay, sous la « Flak » allemande. A chacune de ces cérémonies, le nom des aviateurs devait être lu avec émotion par Anthony Di Pietro et Frédéric Morales, respectivement Commander et Vice-Commander de l’American Legion. Le troisième, à la mémoire de l’Amiral Hewitt et du Contre-Amiral Lemonier, commandant le 15 août 1944 les forces alliées. Un dernier hommage était ensuite rendu à deux soldats américains tombés au combat et dont les cendres ont été dispersées sur le site du débarquement.
Les autorités civiles et les associations patriotiques étaient représentées par François Dumont, adjoint au maire et vice-présidente du Conseil général, représentant le Député-Maire, Yvonne Zucco, adjoint délégué aux quartier d’Agay, Anthéor, le Trayas, le lieutenant-colonel Morelli, président du Comité d’entente et de liaison des associations patriotiques, Anthony Di Pietro, commander de l’American Legion, Frédéric Morales, vice-commander de l’American Legion, Christian Bilardello, vice-président du Souvenir-Français.
Chacune des cérémonies a été ponctuée par la sonnerie aux morts américaine, la minute de silence, les hymnes américains et français. Cette matinée du souvenir s’est conclue par un grand vin d’honneur offert par la Municipalité.
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Sujet: Re: Plaques comémo et monuments du souvenir Sam 15 Aoû 2015 - 5:04
Anthéor sur le viaduc :
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Sujet: Re: Plaques comémo et monuments du souvenir Jeu 27 Aoû 2015 - 12:51
Le 12 février dernier, lors de la remise du rapport du groupe d’experts chargé d’établir la liste des juifs de Monaco arrêtés et déportés durant la Seconde Guerre mondiale, S.A.S. le Prince Albert II de Monaco avait souhaité prendre ultérieurement la parole lors d’une cérémonie mémorielle qu’Il entendait consacrer à cette période de l’histoire de la Principauté.
Une stèle commémorative, en souvenir de chacune de ces personnes, a été dévoilé le jeudi 27 août 2015, au cimetière de Monaco, en présence de S.A.S. le Prince et des autorités monégasques, civiles et religieuses. Ont également été conviés les représentants diplomatiques des pays dont étaient originaires les juifs déportés ainsi que certains de leurs descendants ou ayants-droit.
Cette date a été choisie pour rappeler les arrestations opérées à Monaco dans la nuit du 27 au 28 août 1942.
Le Prince Souverain a prononcé un discours pour exprimer Sa position sur ces évènements douloureux et le témoignage qu’il faut en porter.
Cette prise de parole marquera l’aboutissement d’une démarche initiée par le Prince Rainier III en 1993. Dés le début de Son règne, le Prince Albert II, dans un esprit de transparence, avait souhaité aller plus loin dans ce devoir de mémoire, en créant, en 2006, une commission d’assistance aux victimes de spoliations et, en 2011, un groupe d’experts chargé de faire la lumière sur les faits survenus à Monaco entre 1942 et 1944.
sources : Palais Princier
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Sujet: "Si le Rocher m'était conté"Conte de Fées pour non-sachants Ven 28 Aoû 2015 - 7:35
Je suis ému par ce discours princier... Tu es sur qu'il n'a pas mentionné parmi les victimes de la guerre deux grands bienfaiteurs de la Principauté ?
Mandel SZKOLNIKOV https://fr.wikipedia.org/wiki/Mandel_Szkolnikoff Josef JOANOVICI https://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_Joanovici
De plus sur cette période il pouvait obtenir pas mal de témoignages;de première main ; de sa Tati la princesse Antoinette (sœur de rainier) qui aimaient faire des vers..(de gris ) https://fr.wikipedia.org/wiki/Antoinette_de_Monaco
Il pouvait faire également appel à RMC qui sera sans doute ravi de faire un rappel de sa naissance et des "Bonnes Fées" qui se sont penchées sur son berceau... En effet en Juillet 43 lors de sa création celle ci se présentait comme une radio "..au service de l'Europe nouvelle"(sic) https://fr.wikipedia.org/wiki/RMC
Mais ce ne sont là que de vieux souvenirs ,la Principauté ces dernières années semblant avoir plutôt succombé au charme slave....
régis
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Sujet: monument de cupabia Mer 2 Sep 2015 - 7:52
Corse : monument de Cupabia
débarquement des missions Sea Urchin et Frederick, en provenance d'Angleterre Le monument de granite gris sur la plage de Cupabia est unique en Corse Extraits du livre de Maurice Choury La Résistance en Corse -Tous bandits d’honneur - Éditions sociales (1968) - La Marge Edition (1988); Éditions Piazzola septembre (2011) La mission et le réseau Frederick
La mission Frederick mise à terre dans la baie de Cupabia. 11 février 1943.
Après la mission Pearl Harbour débarquée par le sous-marin « Casabianca » en Décembre 1942, au nord de Cargèse, c’est la mission « Sea Urchin » conduite par Fred Scamaroni qui est débarquée début janvier 1943 au nord de Propriano par le sous-marin « HMS Tribune ». En février 1943, c’est au tour de la mission « Frederick », elle aussi venue d’Alger, de prendre pied en Corse. Elle est organisée par le Service Secret d’espionnage Britannique I.S.L.D. (Inter Service Liaison Département) M.I.6. Son objectif : créer un réseau de renseignements pour informer les Alliés sur les Forces ennemies italiennes qui occupent la Corse depuis le 11 novembre 1943. Elle est dirigée par un opérateur radio des Services Secrets britanniques, Guy Verstraete, âgé de 25 ans (nom de code : Wlaminck - nom d’emprunt : Guy, Charles, Vernuge). Il est accompagné par deux Corses : le premier, Antoine Colonna d’Istria, âgé de 37 ans, originaire de Petreto-Bicchisano, directeur d’un Monoprix à Alger. Le deuxième, un parent à lui, Charles Simon Andreï, âgé de 40 ans est instituteur dans cette même ville.
Les trois hommes quittent Alger le 7 février au soir à bord du sous-marin H.M.S. Tribune avec un émetteur radio, des armes automatiques et leurs affaires personnelles. Dans la nuit du 11 février, à 2 heures 10, le sous-marin choisit la baie de Cupabia (Celle-là même où avait débarqué Fred Scamaroni) pour débarquer la mission. A un mille de distance de la côte, le sous-marin met deux canots à la mer. Ils transportent hommes et matériel jusqu’au lieu-dit Scogliu Biancu, près de Cala di Giglio ; non sans quelques frayeurs parce qu’un projecteur ennemi situé à 300 mètres au-dessus balaye la baie de sa lumière.
La mission n’est pas attendue. Il n’y a donc pas de comité de réception. Les hommes doivent dissimuler leur matériel et quitter la plage et à travers le maquis se hasarder à la recherche de patriotes.
Vie et fin du réseau Frederick.
Le contact est établi avec des parents et amis corses. Colonna d’Istria rejoint Petreto-Bicchisano, Andreï est hébergé par un ami, Jean-Donat Léandri à Propriano. Quant à Vernuge, il s’installe avec son poste radio dans uns bergerie située à 1 km de Tivolaggio, village distant de 16 km de Propriano. De là, il émettra jusqu’à son arrestation, une quarantaine de messages, renseignant les Alliés sur le dispositif des troupes d’occupation.
Informé de l’arrivée à Cupabia, (là où eux-mêmes avaient débarqué), entre le 9 et 12 avril, d’un sous-marin venant d’Alger, Vernuge et Andrei se rendent sur les lieux pour l’accueillir. Victimes d’un délateur, ils sont arrêtés par les carabiniers. En attendant que ces derniers vérifient leur identité, ils sont enfermés dans une porcherie. Vernuge réussit à cacher sous les tuiles une carte détaillée du golfe du Valinco qui était destinée au sous-marin. Leur identité acceptée, les deux hommes peuvent repartir, libres, mais un carabinier, poussé par la curiosité, retourne à la porcherie et y découvre la carte qui dépassait des tuiles. Les deux hommes sont rattrapés, arrêtés dans la demi-heure qui suit et conduits à Propriano, et faits prisonniers.
Ils résistent à la torture pendant 24 heures, le temps pour le réseau de s’évanouir dans le maquis. Tous n’y parvinrent pas. Leandri et Tomasini sont arrêtés. L’épouse de François Peretti (Scatena) sera détenue aussi pendant quelques semaines avant d’être relâchée. Les quatre hommes : Vernuge, Andrei, Leandri et Tomasini sont ensuite incarcérés dans la citadelle d’Ajaccio pour y être torturés.
D’Ajaccio ils sont conduits à Bastia où siège le tribunal de guerre du 7ème Corps d’Armée italien. Le procès des hommes du réseau et celui de Louise Simponpietri qui avait abrité Vernuge à Tivolaggio, a lieu le 5 juillet 1943. Verdict : Vernuge et Andréi condamnés à mort. Ils sont fusillés le 6 juillet. Vernuge, le belge, s’écroule en criant : « Vive la France ». Léandri, Tomasini condamnés à 30 ans de prison. Ils mourront sous les bombardements alliés dans leur prison de Castel franco en Italie. Les fugitifs sont condamnés in absentia : Antoine Colonna d’Istria, François Peretti (Pierre Scatena), condamnés à mort. Tramoni et Mondoloni, 24 ans de prison. Louise Simonpietri, la mère de Cesari, qui avait abrité Vernuge à Tivolaggio, est relâchée.
A.P.
Bibliographie : « Frederick » la mission oubliée. Terry Hodgkinson. Larsen Grove Press. 2007
régis
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Sujet: Re: Plaques comémo et monuments du souvenir Mar 8 Sep 2015 - 15:27
le 9 septembre 1943 première ville libérée de FRANCE
au village de Lévie respect pour lui
frankdrebin
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Sujet: Re: Plaques comémo et monuments du souvenir Mer 9 Sep 2015 - 16:26
Dans l'immense et très émouvant cimetière national d'Arlington (Etat de Virginie, USA).
Plaque souvenir du 551 PIB
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Mémorial de la 3rd ID
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Plaque commémorative
Avis aux vandales, ces plaques là sont bien gardées!
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Bonne fin de soirée.
Jean Marc.
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Sujet: Re: Plaques comémo et monuments du souvenir Lun 28 Sep 2015 - 3:38
Ce samedi : commémoration pour honorer les 3 bombardiers tombés sous le feu ennemi en 1944 au col de la belle Barbe dans l'Esterel, au jardin de l'observatoire d'Agay et au Dramont
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Sujet: Re: Plaques comémo et monuments du souvenir Mar 23 Fév 2016 - 4:01
Col de la Lombarde Isola 2000 ( 06) plaque posée en 1998
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vtt13
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Sujet: Re: Plaques comémo et monuments du souvenir Ven 11 Mar 2016 - 1:41
Gare St Charles Marseille,
Erreur sur la plaque. Ils sont morts à la gare du Canet.
Dernière édition par vtt13 le Lun 10 Aoû 2020 - 8:28, édité 1 fois
Capu Rossu Spécialiste: artillerie et marine de guerre
Nombre de messages : 2083 Age : 75 lieu : Martigues Date d'inscription : 29/04/2007
Sujet: Re: Plaques comémo et monuments du souvenir Ven 11 Mar 2016 - 5:31
Eh oui, mais la gare St Charles, ça fait plus glamour que la gare du Canet et le boulevard Ferdinand de Lesseps !
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Sujet: Re: Plaques comémo et monuments du souvenir Mer 1 Nov 2017 - 11:10
Grasse: Paul Demarchi restaure les monuments aux morts pour «sauver les noms»
Difficile de prendre rendez-vous avec Paul Demarchi à l’approche de la Toussaint. Ce Grassois est très occupé avec son « activité monuments aux morts ». Il consacre chacune de ses matinées à repérer, laver puis rénover les stèles et plaques des villes de la Côte d’Azur.
« Elles se dégradent, regrette cet ancien garde champêtre de 59 ans. Ce ne sont pas les monuments qui tombent en ruine, mais les noms que l’on ne voit plus. Ces soldats sont morts pour nous, pour la France, et on risque de les oublier. » Pour éviter que les stèles ne deviennent qu’une pierre blanche, Paul Demarchi a d’abord dû faire l’inventaire de ces monuments : il en a répertorié 192 dans le département.
Une fois repéré, le Grassois se lance dans un grand nettoyage. « J’enlève toute la saleté avec de l’eau et de la lessive, puis je passe un détartrant, détaille-t-il. Je gratte les lettres et après je réécris tous les noms, un à un avec de la peinture noire. »
Paul Demarchi, également président délégué départemental des porte-drapeaux de France, a débuté ce travail de commémoration en septembre 2016 dans son village du Tignet. « J’y ai restauré le monument aux morts, la plaque commémorative et les trois stèles », se souvient-il.
En près d’un an, il s’est attaqué à une quinzaine d’autres à Grasse notamment. « J’aimerais toutes les refaire. Mais je ne sais pas si ma vie me laissera le temps », ironise celui qui propose ses services gratuitement aux communes. Mais Paul Demarchi peut compter sur la relève : à huit ans, son fils est le plus jeune porte-drapeau de France.
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vtt13
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Sujet: Re: Plaques comémo et monuments du souvenir Lun 10 Aoû 2020 - 8:27
A la mémoire de Jean-Baptiste Ivaldi. Tué à la libération, le 23 Aout 1944. Jean-Baptiste Ivaldi travailla à la Compagnie générale des tramways de cette ville à partir de mars 1918 au service d’entretien du dépôt des Chartreux où il exerça la profession d’ajusteur mécanicien.
Militant syndicaliste et communiste, il fut révoqué à l’automne 1938 à la suite d’une grève ou d’une pétition protestant contre les accords de Munich. Il fut réintégré, cependant, un mois plus tard.
Lorsque la guerre éclata, Ivaldi fut mobilisé, fit la campagne de Belgique dans l’artillerie et fut cité pendant les combats autour de Dunkerque. Démobilisé le 19 juillet 1940, il reprit son emploi à la Compagnie des tramways puis fut arrêté sur les lieux de son travail le 19 octobre avec des membres du « réseau Laffaurie » clandestin. Au procès qui suivit, en mars 1941, il bénéficia d’un non-lieu mais, très rapidement, fut interné au fort Saint-Nicolas. Il fut transféré par la suite dans les camps de Chibron puis de Saint-Sulpice et, le 3 avril 1941, à la maison d’arrêt de Castres pour avoir protesté contre les déportations. Après une deuxième année d’internement à Nexon et à Saint-Paul-d’Eyjeaux, dans la Haute-Vienne, Ivaldi fut libéré le 8 décembre 1942.
Il revint à Marseille où il travailla comme manœuvre à la gare et rejoignit les FTPF dans la Résistance. Il participa aux combats pour la libération de Marseille et mourut le 23 août 1944 lors de la prise de l’Hôtel Noailles, sur La Canebière, qui avait été réquisitionné par les Allemands.
Jean-Baptiste Ivaldi a reçu, à titre posthume, une carte d’interné politique et une carte de combattant volontaire de la Résistance. Une rue de Marseille, dans le quartier des Chartreux, où il résidait, porte aujourd’hui son nom. https://maitron.fr/spip.php?article87681
PZIV aime ce message
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Sujet: DIFFONTY / Ferme Laval LAMBRUISSE (04) Sam 29 Mai 2021 - 12:43
Une plaque de rue à La Ciotat qui nous amène jusqu'à la fameuse ferme Laval à Lambruisse avec des photos d'époque exceptionnelles https://maquisardsdefrance.jeun.fr/t19375-hommage-a-diffonty-henri
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Sujet: Re: Plaques comémo et monuments du souvenir